PC-219 - Organismes de contrôle agréés
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2e étape de la réintégration - l'évaluation de réintégration
Au plus tard 49 jours calendrier après la demande de démarrage du trajet de réintégration, le medécin du travail doit:
- avoir examiné le travailleur et son poste de travail;
- s’être éventuellement concerté avec d’autres experts (par exemple le médecin-traitant, ergonome…) moyennant l’accord du travailleur;
- s’être éventuellement concerté avec l’employeur si le travailleur l’a expressément demandé;
- rendre sa décision.
Dans sa décision, le médecin du travail se prononce sur l’aptitude ou non (d’un point de vue médical) du travailleur à exercer à nouveau le « travail convenu » (autrement dit son travail dans les mêmes conditions qu’avant son incapacité de travail). Le médecin du travail a le choix parmi 3 décisions différentes:
- Décision A: le travailleur pourra à terme reprendre le travail convenu et pourrait entre-temps reprendre le travail moyennant adaptation(s) (en fonction des conditions et modalités déterminées par le médecin du travail sur base de l’état de santé du travailleur).
- Décision B: le travailleur est définitivement inapte au travail convenu. Il ne pourra donc jamais reprendre son travail selon les mêmes conditions qu’avant l’incapacité de travail. Le médecin du travail doit justifier dans le dossier santé du travailleur cette décision. Il doit également lister les conditions et modalités selon lesquelles le travailleur pourrait reprendre le travail (moyennant adaptation(s) donc). Le travailleur a une possibilité de recours contre cette décision d’inaptitude définitive.
- Décision C: pour des raisons médicales, le médecin du travail estime qu’il ne peut prendre de décision. Le trajet de réintégration prend alors fin, le travailleur reste en incapacité de travail selon les termes de son certificat médical. Le médecin du travail informera alors la mutuelle du fait que le trajet de réintégration a pris fin suite à une décision C. Durant les 3 mois suivant la décision C, aucune nouvelle demande de réintégration ne pourra être acceptée par le médecin du travail.
Possibilité de recours contre la décision B (inaptitude définitive)
Lorsque le médecin du travail rend la décision B dans le cadre du trajet de réintégration, la loi donne au travailleur la possibilité de contester cette décision via un recours envoyé par recommandé. Le travailleur a 21 jours calendrier pour ce faire. Nous lui conseillons de prendre contact le plus rapidement possible avec le service juridique de la CSC qui pourra l’épauler dans cette démarche. Durant le délai du recours, le trajet de réintégration est mis en pause (le travailleur reste donc en incapacité de travail).
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1e étape de la réintégration - démarrage du trajet
Seul le médecin du travail peut démarrer un trajet de réintégration. Toutefois, il ne le fait pas de propre initiative. Il existe 2 portes d’entrée possibles:
- À la demande du travailleur: Celui-ci peut, dès son premier jour d’incapacité de travail s’il le souhaite, demander à son médecin du travail de démarrer un trajet de réintégration. Le travailleur peut également demander à son médecin-traitant d’effectuer cette démarche pour lui.
- À la demande de l’employeur: En cas d’incapacité définitive, l’employeur peut demander le démarrage d’un trajet de réintégration dès le premier jour d’incapacité de travail du travailleur. En cas d’incapacité de travail temporaire, il est contraint d’attendre au moins 3 mois ininterrompus d’incapacité de travail .
Le travailleur recevra alors de la part de la médecine du travail une invitation à se présenter à une évaluation de réintégration auprès du médecin du travail. En cas de 3 refus consécutifs de la part du travailleur de se présenter à l’invitation du médecin du travail, le trajet de réintégration prendra fin. Le médecin du travail informera alors la mutuelle du fait que le trajet de réintégration a pris fin suite au refus du travailleur de se présenter à l’évaluation de réintégration. Le médecin conseil de la mutuelle pourrait alors décider de démarrer un trajet "retour au travail".
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Réintégration - Premières informations après 4 semaines d'incapacité de travail
L’employeur doit informer la médecine du travail chaque fois qu’un de ses travailleurs atteint une incapacité de travail de 4 semaines. La médecine du travail contactera alors le travailleur pour l’informer des différentes possibilités de retour au travail qui s’offrent à lui. Ce contact est purement informatif: il n’a rien de contraignant et ne nécessite aucune réaction de la part du travailleur. -
Est-ce que je risque des sanctions si je ne collabore pas avec la mutuelle pour le trajet "retour au travail"?
Oui! Après 10 semaines d’incapacité de travail, vous recevez un questionnaire de la part de votre mutuelle. Vous avez deux semaines pour le compléter et le renvoyer. Si vous ne le faites pas, votre allocation maladie sera diminuée de 2,5% (jusqu’à ce que vous renvoyez le questionnaire complété).
En fonction de vos réponses à ce questionnaire, vous êtes susceptibles de recevoir une convocation par le "coordinateur retour au travail" de la mutuelle. Si vous ne vous rendez pas à cette convocation votre allocation maladie sera diminuée de 2.5% (jusqu’à ce que vous rencontrez le coordinateur retour au travail).
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Puis-je être licencié pour force majeure médicale si le trajet de réintégration ne fonctionne pas?
Non! La procédure de licenciement pour force majeure médical est une procédure totalement différente du trajet de réintégration.
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Qu'est-ce que le "trajet de retour au travail" et qui est concerné?
En plus du trajet de réintégration, qui se déroule uniquement dans votre entreprise ou institution, la loi prévoit un autre moyen d’explorer des pistes de retour au travail en dehors de votre entreprise ou institution: le "trajet retour au travail". Ce trajet se déroule au sein de votre mutuelle avec l’aide du "coordinateur retour au travail".
Ce trajet peut concerner tous les travailleurs en incapacité de travail, qu’ils soient ou non sous contrat de travail.
Vous trouverez plus d’informations ici. Vous pouvez également demander conseil à votre représentant CSC dans votre entreprise.
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Qu'est-ce que la "réintégration" et qui est concerné?
Si vous êtes sous contrat de travail et en incapacité de travail, vous pouvez demander à bénéficier d’un trajet de réintégration. Celui-ci a pour objectif de vous permettre de reprendre le travail dans votre entreprise ou institution via un travail adapté, une adaptation de poste ou autres. Votre employeur, moyennant le respect de certaines conditions, peut également demander le démarrage d’un trajet de réintégration.
Attention: il existe d’autres moyens moins « formels » que le trajet de réintégration pour explorer les pistes de retour au travail dans votre entreprise ou institution.
Vous trouverez des informations plus précises sur cette page. Vous pouvez également demander conseil à votre représentant CSC dans votre entreprise. -
Avez-vous droit à une indemnité vélo si vous disposez d'une voiture de société ou d'un vélo en leasing ?
Dans la plupart des cas, vous pouvez également bénéficier d'une indemnité pour les jours où vous vous rendez au travail à vélo, même si vous disposez d'une voiture de société ou d'un vélo en leasing. Mais cela dépend finalement de la manière dont cela est réglementé dans votre secteur ou votre entreprise.
Attention: dans certains secteurs, ce n'est pas le cas, par exemple si vous travaillez sous la commission paritaire 111 métal. Dans ce cas, vous ne pouvez bénéficier d'une indemnité vélo que si vous ne disposez pas d'une voiture de société ou d'un vélo en leasing. Vérifiez la convention collective de votre secteur ou de votre entreprise pour savoir comment cela est réglementé.
L'autre condition est que vous devez faire du vélo régulièrement. Une fois par semaine, par exemple, ou à une certaine période de l'année. -
C'est quoi un saut d'index?
Avec un saut d’index, l’indexation est mise en pause pendant une période donnée. Pour le secteur public et les allocations sociales - où une indexation intervient lorsque l’indice pivot est dépassé -, on va «sauter» une indexation. Pour la plupart des autres secteurs, où l’indexation intervient à un moment fixe, on soustrait 2% de l’indexation prévue.
Existe-t-il d’autres manières que le saut d’index pour limiter l’indexation?
Tout tourne toujours autour de trois facteurs: le travail, le capital et l’État. Si un des trois reçoit moins, les autres en profitent. La réduction de 21% à 6% de la TVA sur l’énergie en est un bon exemple. Dans ce cas, c’est l’État qui paie la facture, mais cette baisse de la TVA ralentit l’inflation et l’indexation intervient donc moins rapidement.
De ce fait, l’argent n’arrive globalement pas dans les poches du travailleur mais reste dans celles de l’employeur, puisqu’il doit moins indexer. Au niveau des travailleurs, il y a toutefois des gagnants et des perdants. Plus la partie du revenu avec laquelle vous devez payer vos factures d’énergie est importante, plus il y a de chances que vous gagniez. Plus elle est faible, plus il y a de chances que vous perdiez.
Quelles sont les conséquences d’un saut d’index pour les salaires, les allocations et les pensions?
Il est clair que vous recevez moins que ce à quoi vous aviez normalement droit. Cela reste un équilibre entre les facteurs travail, capital et État. Si vous recevez moins de salaire suite à un saut d’index, ce sont les entreprises et l’État qui en profitent. L’impact ne se limite pas à votre salaire actuel.
Les indexations ultérieures seront aussi calculées sur un montant inférieur, avec des conséquences également pour d’éventuelles allocations sociales ultérieures. Imaginez que vous tombiez en incapacité de travail. Vos allocations sociales seront plus faibles puisqu’elles sont basées sur votre salaire antérieur. Votre pension sera également impactée.
Moins votre salaire est élevé, moins vous constituez de droits de pension légale. Plus jeune vous êtes au moment du saut d’index, plus vous allez perdre de revenu cumulé.
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Pas de loi sur la norme salariale, donc plus d'indexation automatique? VRAI OU FAUX?
FAUX!
Nous luttons depuis un certain temps déjà contre la loi de 1996 sur la norme salariale, qui empêche la libre négociation des salaires. L’augmentation des salaires, ce n’est pas la même chose que l’indexation, qui permet simplement à nos salaires de s’adapter à la hausse du coût de la vie. L’Organisation internationale du travail (OIT) a condamné la Belgique en déclarant que cette loi viole le droit fondamental des travailleurs à la libre négociation des salaires.
Parce qu’ils n’ont guère d’arguments pour réfuter la thèse de l’OIT, les employeurs changent donc d’approche en scandant: «Pas de loi sur la norme salariale, alors plus d’indexation automatique».
Les employeurs se trompent
Les employeurs estiment que la loi sur la norme salariale garantit l’indexation des salaires et constitue une intervention légale dans la liberté de négociation. Ils se trompent complètement! L’indexation dans le secteur privé n’est absolument pas garantie par une loi mais résulte de CCT (conventions collectives de travail) conclues dans les secteurs et les entreprises. C’est exactement pour cela que certains travailleurs de notre pays n’ont pas droit à une indexation automatique de leurs salaires: parce qu’il n’existe pas de CCT dans leur secteur ou entreprise ou parce qu’ils en ont été exclus, ou encore parce que la CCT prévoit de n’indexer que les minima sectoriels. Toutes ces CCT sont le fruit de négociations libres, sans aucune intervention légale.
Les travailleurs qui ne bénéficient pas d’une indexation automatique – ou seulement d’une indexation partielle – ne peuvent absolument pas invoquer la loi sur la norme salariale pour obliger leur employeur à procéder à une indexation complète.
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La hausse de l'inflation est due à nos salaires élevés? VRAI OU FAUX?
FAUX!
La spirale salaires-prix est un autre de ces arguments souvent invoqués pour critiquer l’index. En résumé, l’augmentation des coûts salariaux serait répercutée sur les prix. Les prix augmentant, une nouvelle augmentation des coûts salariaux serait nécessaire. Et ainsi de suite. Or, cela n’a pas été le cas au cours des dernières décennies.
Causes de l'inflation
Statbel, l’office belge de statistique, a calculé que l’inflation est surtout due à la hausse des coûts de l’énergie ainsi qu’à l’augmentation des prix des denrées alimentaires. Elle ne résulte donc pas d’une spirale salaires-prix. En outre, 40% des salariés n’ont été indexés qu’en janvier, de sorte que l’inflation que nous connaissons aujourd’hui ne peut résulter d’un événement qui ne s’est pas encore produit. Les augmentations de prix destinées à maintenir les marges bénéficiaires (élevées) pèsent davantage sur la hausse générale des prix que les coûts salariaux.
Cela revient en fait à conclure que les entreprises ont une liberté totale en matière tarifaire. Or c’est faux, il existe une rigidité nominale sur les prix (contrats, concurrence, etc.). -
L'indexation en net est tout aussi bonne pour le salarié. VRAI OU FAUX?
FAUX!
Les organisations patronales aspirent à une indexation en net. Elles laissent entendre que le travailleur bénéficie du même montant au final. Ce raisonnement ne tient pas, car les augmentations en net ne permettent pas de se constituer de droits sociaux. Ce relèvement en net ne serait par exemple pas compté pour le calcul de la pension.
On oublie surtout que cette option entraînerait une hémorragie pour la sécurité sociale et les services collectifs. Les travailleurs en seraient victimes quoi qu’il arrive. La CSC a calculé qu’une indexation en net, appliquée en 2022 et en 2023, aurait coûté pas moins de 9,92 milliards d’euros (!) de pertes de recettes à la sécurité sociale et aux différents pouvoirs publics.
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Il faut fixer l'index sur la base du salaire médian. VRAI OU FAUX?
FAUX!
Une autre idée serait de déterminer un montant d’indexation qui serait calculé en fonction d’un pourcentage sur le salaire médian belge. Par exemple, 2% du salaire médian belge reviendrait à accorder à tout le monde un montant fixe de 75€.
Pourquoi est-ce une mauvaise idée?
L’avantage de cette idée, c’est qu’elle permet une redistribution des hauts salaires vers les bas salaires. Dit simplement, cela représente un relèvement plus important pour les petits salaires que pour les gros. Néanmoins, les gros salaires cotisent plus pour la sécurité sociale que les petits salaires et sont plus imposés. Une indexation moindre des gros salaires serait donc un désavantage à long terme pour la collectivité.
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L'index nous enrichit. VRAI OU FAUX?
FAUX!
L’indexation n’enrichit personne. Elle nous protège seulement de l’appauvrissement en corrigeant – avec un certain retard selon votre commission paritaire – la perte de pouvoir d’achat due à la hausse des prix. En outre, cette protection n’est pas totale car non seulement il existe des effets de retard, dans certains secteurs plus que dans d’autres, mais en plus certains coûts comme le carburant ne sont pas pris en compte dans le calcul de l’indice. -
Mieux vaut un index calculé sur le montant plutôt qu'en pourcent. VRAI OU FAUX?
FAUX!
Un index en montant, cela voudrait dire que chaque travailleur ou allocataire social recevrait un montant fixe pour pallier à l’augmentation du coût de la vie, indépendamment de son revenu.
Pourquoi cette idée n’a rien de social?
L’augmentation du coût de la vie est calculée en pourcentage. C’est également en pourcentage que l’adaptation des salaires à ce coût de la vie doit être calculée pour être juste. Ce montant ne représentera pas la même augmentation du pouvoir d’achat pour tout le monde. Certaines personnes finiraient donc par s’appauvrir petit à petit.
Redistribution des richesses?
En fait, l’indexation n’enrichit personne. Elle ne fait que corriger – avec un certain retard selon votre commission paritaire – la perte de pouvoir d’achat due à la hausse des prix. Elle protège partiellement les revenus contre l’augmentation du cout de la vie.
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Nos centrales professionnelles
Pour Liège-Huy-Waremme
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Bpost: 04/340.74.26 ou mmazy.transcom@acv-csc.be
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Pour les cotisations, le service juridique, RESO, le service frontalier, les centrales professionnelles, nous vous demandons d’utiliser les moyens de contact ci-dessous.
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Chômage: nos guichets rapides
Le service chômage organise des guichets rapides dans vos centres de services CSC, ces bureaux de proximité situés aux quatre coins de la province de Liège.
Un guichet rapide est un guichet où l'agent chômage vérifie, avec vous, si nous avons tous les documents nécessaires vous concernant ou si nous avons besoin d’une autre démarche de votre part. Ce qui est réglé vous sera communiqué directement. Ce qui nécessite un temps d’analyse plus important sera planifié en rendez-vous ou sera traité à un autre moment, vous n’aurez pas à vous déplacer à nouveau.
Les HORAIRES d’ouverture de ces guichets rapides sont disponibles sur notre page Contact
Vous voulez contacter notre service chômage? Plusieurs options s'offrent à vous:
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Dès analyse de votre dossier, le service chômage s’engage à vous recontacter rapidement soit par téléphone, soit par mail.
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Vous pouvez toujours déposer vos cartes de contrôle (cartes bleues) et autres documents dans les boîtes aux lettres extérieures de nos différents centres de services. Joignez-y, s'il vous plaît, vos coordonnées: nom, prénom, numéro national, numéro de Gsm et adresse mail. Si vous avez besoin de documents, mentionnez-le.
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Nos accueils
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- à Verviers (4, Pont Léopold – 4800 Verviers) : le lundi, mardi et jeudi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 16h. Le mercredi, de 8h30 à 12h.
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A qui est destiné le congé-éducation payé?
Si vous travaillez dans le secteur privé ou dans une entreprise publique comme contractuel et souhaitez suivre des formations pendant ou en dehors de vos heures de travail ou présenter un examen du jury central ou de validation des compétences, vous avez droit à un certain nombre d’heures de congé avec maintien de votre rémunération.
Il s’agit du congé-éducation payé. Le CEP est un droit du travailleur, votre employeur est dès lors tenu de vous accorder des congés-éducation payés si vous répondez aux conditions d’octroi, suivez une formation reconnue dans ce cadre et remettez vos attestations d’inscription congé-éducation payés dans les délais prévus.