130.02 - Journaux
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Quel est le montant de la prime de fin d'année dans mon secteur?
Il y a deux manières de le savoir:
- Rendez-vous sur la page d'aperçu des primes de fin d'année.
- Ou cliquez sur "Mon secteur" ci-dessous, choisissez votre secteur.
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Petit chômage en cas de fonctions d'assesseur
- D'un bureau principal ou d'un bureau unique de vote, lors des élections législatives, provinciales et communales: le temps nécessaire avec un maximum de cinq jours.
- Dans un des bureaux principaux lors des élections du Parlement européen: le temps nécessaire avec un maximum de cinq jours.
- D'un bureau principal de dépouillement lors des élections législatives, provinciales et communales: le temps nécessaire avec un maximum de cinq jours.
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Petit chômage en cas de participation à un jury
Participation à un jury, convocation comme témoin devant les tribunaux ou comparution personnelle ordonnée par la juridiction du travail : le temps nécessaire, avec un maximum de cinq jours
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Petit chômage en cas de participation à un conseil de famille via le juge de Paix
Participation à une réunion d'un conseil de famille convoquée par le Juge de Paix: le temps nécessaire avec un maximum d'un jour. -
Participation d'un enfant à la fête de jeunesse laïque
Participation de l'enfant (d'accueil) du travailleur ou de son/sa conjoint·e à la fête de la jeunesse laïque: le jour de la fête (si celle-ci coïncide avec un dimanche, un jour férié ou un jour habituel d'inactivité: le jour habituel d'activité suivant ou précédant l'événement). -
Petit chômage en cas d'ordination ou d'entrée au couvent
Ordination ou entrée au couvent d’un enfant du travailleur ou de son/sa conjoint(e), d’un frère, d’une sœur, d’un beau-frère ou d’une belle-sœur du travailleur: Le jour de l’ordination. -
Petit chômage en cas de décès
La législation permet au travailleur de prendre ses jours de congé de deuil à un autre moment, moyennant l’accord de l’employeur.
- Du partenaire ou de l’enfant du travailleur ou du partenaire: dix jours. Les trois premiers jours doivent être pris par le travailleur dans la période qui commence le jour du décès et se termine le jour des funérailles. Les sept jours restants peuvent être pris librement par le travailleur dans l’année qui suit le décès.
- D’un enfant placé en famille d’accueil:
- Dix jours si le travailleur est ou était parent d’accueil dans le cadre d’un placement familial de longue durée (plus de six mois). Les trois premiers jours sont à prendre dans la période entre le décès et les funérailles. Les sept jours restants peuvent être pris librement dans l’année qui suit le décès.
- Dans le cadre d’un placement familial de courte durée (moins de six mois), les parents d’accueil ont droit à un jour de congé de deuil, à prendre le jour des funérailles.
- Du père, de la mère, du beau-père, du second mari de la mère, de la belle-mère, de la seconde femme du père du travailleur ou de son partenaire: 3 jours, à choisir dans la période qui commence le jour du décès et se termine le jour des funérailles. Dans le cadre d’un placement familial de longue durée (prévu pour au moins 6 mois), le lien familial avec l’enfant accueilli est assimilé au lien familial avec le (propre) enfant. Ainsi, il assimile le père d’accueil au père, la mère d’accueil à la mère, etc. Cette disposition vaut en cas de décès au cours ou après la période de placement familial.
- D’un frère, d’une sœur, d’une belle-sœur, d’un beau-frère, d’un grand-père, d’une grand-mère, d’un petit-enfant, d’un arrière-grand-père, d’une arrière-grand-mère, d’un arrière-petit-enfant, d’un gendre ou d’une bru du travailleur ou de son partenaire
- Si la personne décédée vivait sous le même toit que le travailleur: deux jours, à choisir dans la période qui commence le jour du décès et se termine le jour des funérailles.
- Si la personne décédée ne vivait pas sous le même toit que le travailleur: le jour des funérailles.
Dans le cadre d’un placement familial de longue durée (prévu pour au moins six mois), le lien familial avec l’enfant accueilli est assimilé au lien familial avec le (propre) enfant. Ainsi, il assimile le frère d’accueil au frère, le grand-père d’accueil au grand-père, etc.
Attention: en cas de décès après la période de placement familial, cette disposition ne vaut que si l’enfant placé a fait partie de la famille d’accueil pendant une période ininterrompue de trois ans.
Pour le congé de deuil, on entend par partenaires: conjoints ou partenaires cohabitants (légaux ou de fait). - Du partenaire ou de l’enfant du travailleur ou du partenaire: dix jours. Les trois premiers jours doivent être pris par le travailleur dans la période qui commence le jour du décès et se termine le jour des funérailles. Les sept jours restants peuvent être pris librement par le travailleur dans l’année qui suit le décès.
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Petit chômage en cas de communion solennelle ou de fête de jeunesse laïque
Communion solennelle d'un enfant (d'accueil) du travailleur ou de son/sa conjoint·e: le jour de la cérémonie si celle-ci tombe un dimanche, un jour férié ou un jour habituel d'inactivité: le jour habituel d'activité suivant ou précédant l'événement.
Attention: en cas de cérémonie après la période de placement familial, cette disposition ne vaut que si l’enfant placé a fait partie de la famille d’accueil pendant une période ininterrompue de trois ans
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Petit chômage en cas de mariage
- Mariage du travailleur: 2 jours, pour le travailleur à choisir durant la semaine où a lieu l’événement ou dans la semaine suivante.
- Mariage d’un enfant du travailleur ou de son/sa conjoint·e, d’un frère, d’une sœur, d’un beau-frère, d’une belle-sœur, du père, de la mère, du beau-père, de la belle-mère, d’un petit-enfant du travailleur: le jour du mariage.
Dans le cadre d’un placement familial de longue durée (prévu pour au moins six mois), le lien familial avec l’enfant accueilli est assimilé au lien familial avec le (propre) enfant. Ainsi, il assimile le frère d’accueil au frère, le père d’accueil au père, etc.
Attention: en cas de mariage après la période de placement familial, cette disposition ne vaut que si l’enfant placé a fait partie de la famille d’accueil pendant une période ininterrompue de trois ans. - Mariage du travailleur: 2 jours, pour le travailleur à choisir durant la semaine où a lieu l’événement ou dans la semaine suivante.
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CP 335 - Commission paritaire de prestation de services et de soutien aux entreprises et aux indépendants
- Quoi ?
Partie du salaire mensuel fixe en dessous de 3.500 € pour un temps plein
- Comment ?
- Au 1er janvier 2024 et au 1er janvier 2025
- Sur base de la moyenne des indices de novembre et décembre/moyenne des indices de novembre et décembre N-1
Indexation au 1er janvier 2025 : 3,58%
-
Et les salaires dans tout ça ?
« On coute de plus en plus cher »... C’est faux !
L’indexation n’est pas une augmentation de salaire, elle nous protège – en partie seulement – contre la hausse des prix qui nous appauvrit. Dans la réalité, nos salaires diminuent car ils nous permettent d’acheter moins de choses.
Mettre « la perte de compétitivité » sur le dos des salaires est incorrect (et injuste). Ce sont les prix de l’énergie et le manque d’investissements qui font monter les prix, pas le salaires (qui ne font que suivre). Mettre coût du gaz, loyer et salaires sur le même pied, c’est oublier que c’est nous qui faisons tourner les entreprises et qui produisons la richesse.
Bien sur la situation est difficile, mais pour y faire face, il faut faire porter la charge aux épaules les plus larges. Il y a des bénéfices et des richesses dans (certaines) entreprises, qu’elles soient solidaires !
-
3) Mettre les choses en perspective : qui a les moyens de fournir un effort ?
La hausse des prix de l’énergie est – au moins en partie – temporaire. Les perspectives d’embauche à la hausse montrent bien que les patrons pensent que les choses vont se stabiliser.
De l’autre côté, les marges bénéficiaires ont été très élevées ces dernières années et beaucoup d’entreprises (et/ou les groupes dont elles font partie) ont fait des bénéfices, distribué des dividendes et payé bien voire très bien leurs directions et conseil d’administrations. Il faudra leur rappeler quand ils nous expliqueront que face à un moment difficile “on doit tous faire des efforts”.
Mettons donc la situation actuelle en contexte :
- Combien de bénéfices votre entreprises a-t-elle fait sur les 5 dernières années ? vous trouverez cette informations dans le compte 9904 des comptes annuels que vous recevez tous les ans. Vous pouvez aussi les retrouvez sur le site de la banque nationale : https://consult.cbso.nbb.be/ grâce au numéro d’entreprise. Combien ça fait par travailleur ?
- Votre entreprise a-t-elle distribué des dividendes dans le passé (compte 494) ? Les entreprises ne distribuent pas forcément des dividendes tous les ans, regardez les 5 dernières années par exemple. S’il y a des dividendes faites la somme. Pour donner du sens à ce chiffre vous pouvez le diviser par le nombre de travailleurs dans l’entreprise ou le comparer à la hausse du prix de l’énergie.
- Pour finir, si votre entreprise fait partie d’un groupe ou d’une holding, faites une rapide recherche google pour voir si ce groupe fait/a fait des bénéfices et/ou s’il distribue des bénéfices. En effet, comme vous le savez, l’argent circule dans les groupes de différentes façons et pas que via des bénéfices et des dividendes. Si le groupe fait de grosses marges, il peut soutenir ses entreprises et ses travailleurs...
-
2) Évaluer la capacité de l’entreprise à faire face :
- Demandez que l’on vous présente la marge bénéficiaire attendue pour 2022 mais aussi sur les dernières années.
La marge fait la différence entre les prix de revient et de vente des produits, si elle était élevée par le passé, cela signifie que l’entreprise peut faire face à des hausses de couts sans pour autant perdre de l’argent. Tant qu’elle est positive, l’entreprise fait des bénéfices.
Si elle reste stable malgré les hausses du prix de l’énergie cela signifie que l’entreprise fait payer plus cher ses consommateurs et/ou qu’elle a bloqué les prix de ses fournisseurs.
- Demandez que l’on vous présente l’évolution des prix de vente et de revient.
- Regardez les réserves de l’entreprises (compte 13) et les bénéfices reportés (compte 14) cela donne une idée des réserves que l’entreprise a accumulés et dans lesquelles elle peut puiser au besoin.
-
1) Faire un diagnostic : Quel est la part du cout de l’énergie (chauffage et électricité) dans les coûts totaux de l’entreprise et comment évolue-t-elle ?
- Cela se trouve dans le compte 61 service et bien divers. Vous pouvez demander que l’on vous donne le montant des frais de l’énergie depuis le début de l’année et ce que l’entreprise prévoit pour le futur proche. Demandez aussi que l’on vous donne les montants des années précédentes pour comparer. C’est aussi l’occasion de demander quel type de contrat votre entreprise a (certaines entreprises achètent leur énergie en gros ou à l’avance avec des prix fixes ou variables).
- En divisant ces montants par le total des charges (compte(60/66A)) cela vous donnera une idée de l’importance des coûts de l’énergie dans le total.
- Il est probable que ces montants seront en augmentation mais cela permettra de redimensionner/objectiver les enjeux.
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Ai-je droit à la prime de fin d’année en tant qu'intérimaire?
Tout comme la grande majorité des travailleurs dans les secteurs privés comme publics, les travailleurs intérimaires ont droit à une prime de fin d’année.
La prime n’est pas payée par l’agence d’intérim, mais par le Fonds social pour les intérimaires, grâce à une cotisation de toutes les agences d’intérim. Toutes les infos sur la prime intérimaire. -
Que se passe-t-il avec ma prime de fin d'année en cas de licenciement ou de départ?
Si le contrat de travail prend fin avant la fin de l’année, la prime de fin d’année sera calculée sur la base de la période d’occupation pour cette année. Dans la plupart des secteurs, ce droit est garanti lorsque l’employeur vous licencie. En général, le droit n’est pas garanti lorsque le travailleur démissionne. -
Est-ce que la prime de fin d’année est une forme de salaire?
La prime de fin d’année est considérée comme une rémunération. Cela signifie qu’elle est soumise à l’ONSS et au précompte professionnel. Pour le calcul du précompte professionnel, la prime de fin d’année s’analyse comme une indemnité exceptionnelle. La prime est taxée plus que le salaire. Le pourcentage de retenue est déterminé sur la base du montant annuel de la rémunération brute, jusqu’au maximum 53,50%.
Les primes de fin d’année les plus populaires sont:
- Un treizième mois dont le montant correspond au salaire mensuel moyen de l’année écoulée.
- Un montant fixe exprimé en pourcentage du salaire perçu durant la période écoulée.
- Un montant forfaitaire.
-
Quand ai-je droit à une prime de fin d'année?
En Belgique, tous les travailleurs ne bénéficient pas d’une prime de fin d’année. L’obligation de verser une prime de fin d’année s’impose lorsque:
- Le droit est prévu dans une convention collective de travail sectorielle ou d’entreprise.
- Le droit est prévu dans un contrat de travail individuel.
- Le droit résulte d’un usage au sein de l’entreprise que d’allouer chaque année un montant fixe à chaque travailleur.
- Il existe un engagement ou une promesse de la part de l’employeur de payer une prime de fin d’année.
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Comment l'index est-il calculé?
L’index est composé de 3 éléments:
- Le panier. Il contient environ 500 produits et services qu’une famille utilise et consomme. Il permet de mesurer la hausse du coût de la vie. Le panier est remis à jour tous les deux ans pour prendre en considération l’évolution des habitudes d’achat de la population. L’index mesure ainsi l’évolution des prix des produits et services achetés par les ménages belges.
- L’indice santé. Depuis les années 1990, le tabac, les boissons alcoolisées, l’essence et le diesel ne sont plus repris dans le panier. Depuis lors, on parle d’indice santé.
- L’adaptation des salaires à l’index. L’adaptation des salaires à l’index est calculée sur la base de la moyenne de l’indice santé sur une période de quatre mois. L’évolution des salaires suit, avec quelque retard, l’augmentation du coût de la vie. C’est ce qu’on appelle l’indexation. De cette manière, les adaptations salariales sont étalées dans le temps.
-
Rendez-vous Namur-Luxembourg
Voici les points de rendez-vous pour les départs de gare de Namur :
Veuillez venir avant les heures indiquées.
- Namur : 8h00
- Jambes : 7h30
- Andenne : 7h30
- Ciney : 7h30
- Gembloux : 8h00
Inscription obligatoire via action.cscnamurdinant@acv-csc.be avec votre nom et le point de départ.
Téléchargez le tract Namur avec les départs ICI.
Voici les points de rendez-vous pour les départs de gare de Luxembourg :
- Arlon : 6h36
- Marbehan : 6h49
- Libramont : 7h04
- Jemelle : 7h33
- Marloie : 7h39
- Ciney : 7h55
Inscription obligatoire via 063/242031 ou par mail à marie-pierre.halbardier@acv-csc.be avec votre nom et le point de départ.
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Quel est le montant de la prime de fin d'année dans mon secteur?
Il y a deux manières de le savoir:
- Rendez-vous sur la page d'aperçu des primes de fin d'année.
- Ou cliquez sur "Mon secteur" ci-dessous, choisissez votre secteur.
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Petit chômage en cas de fonctions d'assesseur
- D'un bureau principal ou d'un bureau unique de vote, lors des élections législatives, provinciales et communales: le temps nécessaire avec un maximum de cinq jours.
- Dans un des bureaux principaux lors des élections du Parlement européen: le temps nécessaire avec un maximum de cinq jours.
- D'un bureau principal de dépouillement lors des élections législatives, provinciales et communales: le temps nécessaire avec un maximum de cinq jours.
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Petit chômage en cas de participation à un jury
Participation à un jury, convocation comme témoin devant les tribunaux ou comparution personnelle ordonnée par la juridiction du travail : le temps nécessaire, avec un maximum de cinq jours
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Petit chômage en cas de participation à un conseil de famille via le juge de Paix
Participation à une réunion d'un conseil de famille convoquée par le Juge de Paix: le temps nécessaire avec un maximum d'un jour. -
Participation d'un enfant à la fête de jeunesse laïque
Participation de l'enfant (d'accueil) du travailleur ou de son/sa conjoint·e à la fête de la jeunesse laïque: le jour de la fête (si celle-ci coïncide avec un dimanche, un jour férié ou un jour habituel d'inactivité: le jour habituel d'activité suivant ou précédant l'événement). -
Petit chômage en cas d'ordination ou d'entrée au couvent
Ordination ou entrée au couvent d’un enfant du travailleur ou de son/sa conjoint(e), d’un frère, d’une sœur, d’un beau-frère ou d’une belle-sœur du travailleur: Le jour de l’ordination. -
Petit chômage en cas de décès
La législation permet au travailleur de prendre ses jours de congé de deuil à un autre moment, moyennant l’accord de l’employeur.
- Du partenaire ou de l’enfant du travailleur ou du partenaire: dix jours. Les trois premiers jours doivent être pris par le travailleur dans la période qui commence le jour du décès et se termine le jour des funérailles. Les sept jours restants peuvent être pris librement par le travailleur dans l’année qui suit le décès.
- D’un enfant placé en famille d’accueil:
- Dix jours si le travailleur est ou était parent d’accueil dans le cadre d’un placement familial de longue durée (plus de six mois). Les trois premiers jours sont à prendre dans la période entre le décès et les funérailles. Les sept jours restants peuvent être pris librement dans l’année qui suit le décès.
- Dans le cadre d’un placement familial de courte durée (moins de six mois), les parents d’accueil ont droit à un jour de congé de deuil, à prendre le jour des funérailles.
- Du père, de la mère, du beau-père, du second mari de la mère, de la belle-mère, de la seconde femme du père du travailleur ou de son partenaire: 3 jours, à choisir dans la période qui commence le jour du décès et se termine le jour des funérailles. Dans le cadre d’un placement familial de longue durée (prévu pour au moins 6 mois), le lien familial avec l’enfant accueilli est assimilé au lien familial avec le (propre) enfant. Ainsi, il assimile le père d’accueil au père, la mère d’accueil à la mère, etc. Cette disposition vaut en cas de décès au cours ou après la période de placement familial.
- D’un frère, d’une sœur, d’une belle-sœur, d’un beau-frère, d’un grand-père, d’une grand-mère, d’un petit-enfant, d’un arrière-grand-père, d’une arrière-grand-mère, d’un arrière-petit-enfant, d’un gendre ou d’une bru du travailleur ou de son partenaire
- Si la personne décédée vivait sous le même toit que le travailleur: deux jours, à choisir dans la période qui commence le jour du décès et se termine le jour des funérailles.
- Si la personne décédée ne vivait pas sous le même toit que le travailleur: le jour des funérailles.
Dans le cadre d’un placement familial de longue durée (prévu pour au moins six mois), le lien familial avec l’enfant accueilli est assimilé au lien familial avec le (propre) enfant. Ainsi, il assimile le frère d’accueil au frère, le grand-père d’accueil au grand-père, etc.
Attention: en cas de décès après la période de placement familial, cette disposition ne vaut que si l’enfant placé a fait partie de la famille d’accueil pendant une période ininterrompue de trois ans.
Pour le congé de deuil, on entend par partenaires: conjoints ou partenaires cohabitants (légaux ou de fait). - Du partenaire ou de l’enfant du travailleur ou du partenaire: dix jours. Les trois premiers jours doivent être pris par le travailleur dans la période qui commence le jour du décès et se termine le jour des funérailles. Les sept jours restants peuvent être pris librement par le travailleur dans l’année qui suit le décès.
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Petit chômage en cas de communion solennelle ou de fête de jeunesse laïque
Communion solennelle d'un enfant (d'accueil) du travailleur ou de son/sa conjoint·e: le jour de la cérémonie si celle-ci tombe un dimanche, un jour férié ou un jour habituel d'inactivité: le jour habituel d'activité suivant ou précédant l'événement.
Attention: en cas de cérémonie après la période de placement familial, cette disposition ne vaut que si l’enfant placé a fait partie de la famille d’accueil pendant une période ininterrompue de trois ans
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Petit chômage en cas de mariage
- Mariage du travailleur: 2 jours, pour le travailleur à choisir durant la semaine où a lieu l’événement ou dans la semaine suivante.
- Mariage d’un enfant du travailleur ou de son/sa conjoint·e, d’un frère, d’une sœur, d’un beau-frère, d’une belle-sœur, du père, de la mère, du beau-père, de la belle-mère, d’un petit-enfant du travailleur: le jour du mariage.
Dans le cadre d’un placement familial de longue durée (prévu pour au moins six mois), le lien familial avec l’enfant accueilli est assimilé au lien familial avec le (propre) enfant. Ainsi, il assimile le frère d’accueil au frère, le père d’accueil au père, etc.
Attention: en cas de mariage après la période de placement familial, cette disposition ne vaut que si l’enfant placé a fait partie de la famille d’accueil pendant une période ininterrompue de trois ans. - Mariage du travailleur: 2 jours, pour le travailleur à choisir durant la semaine où a lieu l’événement ou dans la semaine suivante.
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CP 335 - Commission paritaire de prestation de services et de soutien aux entreprises et aux indépendants
- Quoi ?
Partie du salaire mensuel fixe en dessous de 3.500 € pour un temps plein
- Comment ?
- Au 1er janvier 2024 et au 1er janvier 2025
- Sur base de la moyenne des indices de novembre et décembre/moyenne des indices de novembre et décembre N-1
Indexation au 1er janvier 2025 : 3,58%
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Et les salaires dans tout ça ?
« On coute de plus en plus cher »... C’est faux !
L’indexation n’est pas une augmentation de salaire, elle nous protège – en partie seulement – contre la hausse des prix qui nous appauvrit. Dans la réalité, nos salaires diminuent car ils nous permettent d’acheter moins de choses.
Mettre « la perte de compétitivité » sur le dos des salaires est incorrect (et injuste). Ce sont les prix de l’énergie et le manque d’investissements qui font monter les prix, pas le salaires (qui ne font que suivre). Mettre coût du gaz, loyer et salaires sur le même pied, c’est oublier que c’est nous qui faisons tourner les entreprises et qui produisons la richesse.
Bien sur la situation est difficile, mais pour y faire face, il faut faire porter la charge aux épaules les plus larges. Il y a des bénéfices et des richesses dans (certaines) entreprises, qu’elles soient solidaires !
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3) Mettre les choses en perspective : qui a les moyens de fournir un effort ?
La hausse des prix de l’énergie est – au moins en partie – temporaire. Les perspectives d’embauche à la hausse montrent bien que les patrons pensent que les choses vont se stabiliser.
De l’autre côté, les marges bénéficiaires ont été très élevées ces dernières années et beaucoup d’entreprises (et/ou les groupes dont elles font partie) ont fait des bénéfices, distribué des dividendes et payé bien voire très bien leurs directions et conseil d’administrations. Il faudra leur rappeler quand ils nous expliqueront que face à un moment difficile “on doit tous faire des efforts”.
Mettons donc la situation actuelle en contexte :
- Combien de bénéfices votre entreprises a-t-elle fait sur les 5 dernières années ? vous trouverez cette informations dans le compte 9904 des comptes annuels que vous recevez tous les ans. Vous pouvez aussi les retrouvez sur le site de la banque nationale : https://consult.cbso.nbb.be/ grâce au numéro d’entreprise. Combien ça fait par travailleur ?
- Votre entreprise a-t-elle distribué des dividendes dans le passé (compte 494) ? Les entreprises ne distribuent pas forcément des dividendes tous les ans, regardez les 5 dernières années par exemple. S’il y a des dividendes faites la somme. Pour donner du sens à ce chiffre vous pouvez le diviser par le nombre de travailleurs dans l’entreprise ou le comparer à la hausse du prix de l’énergie.
- Pour finir, si votre entreprise fait partie d’un groupe ou d’une holding, faites une rapide recherche google pour voir si ce groupe fait/a fait des bénéfices et/ou s’il distribue des bénéfices. En effet, comme vous le savez, l’argent circule dans les groupes de différentes façons et pas que via des bénéfices et des dividendes. Si le groupe fait de grosses marges, il peut soutenir ses entreprises et ses travailleurs...
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2) Évaluer la capacité de l’entreprise à faire face :
- Demandez que l’on vous présente la marge bénéficiaire attendue pour 2022 mais aussi sur les dernières années.
La marge fait la différence entre les prix de revient et de vente des produits, si elle était élevée par le passé, cela signifie que l’entreprise peut faire face à des hausses de couts sans pour autant perdre de l’argent. Tant qu’elle est positive, l’entreprise fait des bénéfices.
Si elle reste stable malgré les hausses du prix de l’énergie cela signifie que l’entreprise fait payer plus cher ses consommateurs et/ou qu’elle a bloqué les prix de ses fournisseurs.
- Demandez que l’on vous présente l’évolution des prix de vente et de revient.
- Regardez les réserves de l’entreprises (compte 13) et les bénéfices reportés (compte 14) cela donne une idée des réserves que l’entreprise a accumulés et dans lesquelles elle peut puiser au besoin.
-
1) Faire un diagnostic : Quel est la part du cout de l’énergie (chauffage et électricité) dans les coûts totaux de l’entreprise et comment évolue-t-elle ?
- Cela se trouve dans le compte 61 service et bien divers. Vous pouvez demander que l’on vous donne le montant des frais de l’énergie depuis le début de l’année et ce que l’entreprise prévoit pour le futur proche. Demandez aussi que l’on vous donne les montants des années précédentes pour comparer. C’est aussi l’occasion de demander quel type de contrat votre entreprise a (certaines entreprises achètent leur énergie en gros ou à l’avance avec des prix fixes ou variables).
- En divisant ces montants par le total des charges (compte(60/66A)) cela vous donnera une idée de l’importance des coûts de l’énergie dans le total.
- Il est probable que ces montants seront en augmentation mais cela permettra de redimensionner/objectiver les enjeux.
-
Ai-je droit à la prime de fin d’année en tant qu'intérimaire?
Tout comme la grande majorité des travailleurs dans les secteurs privés comme publics, les travailleurs intérimaires ont droit à une prime de fin d’année.
La prime n’est pas payée par l’agence d’intérim, mais par le Fonds social pour les intérimaires, grâce à une cotisation de toutes les agences d’intérim. Toutes les infos sur la prime intérimaire. -
Que se passe-t-il avec ma prime de fin d'année en cas de licenciement ou de départ?
Si le contrat de travail prend fin avant la fin de l’année, la prime de fin d’année sera calculée sur la base de la période d’occupation pour cette année. Dans la plupart des secteurs, ce droit est garanti lorsque l’employeur vous licencie. En général, le droit n’est pas garanti lorsque le travailleur démissionne. -
Est-ce que la prime de fin d’année est une forme de salaire?
La prime de fin d’année est considérée comme une rémunération. Cela signifie qu’elle est soumise à l’ONSS et au précompte professionnel. Pour le calcul du précompte professionnel, la prime de fin d’année s’analyse comme une indemnité exceptionnelle. La prime est taxée plus que le salaire. Le pourcentage de retenue est déterminé sur la base du montant annuel de la rémunération brute, jusqu’au maximum 53,50%.
Les primes de fin d’année les plus populaires sont:
- Un treizième mois dont le montant correspond au salaire mensuel moyen de l’année écoulée.
- Un montant fixe exprimé en pourcentage du salaire perçu durant la période écoulée.
- Un montant forfaitaire.
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Quand ai-je droit à une prime de fin d'année?
En Belgique, tous les travailleurs ne bénéficient pas d’une prime de fin d’année. L’obligation de verser une prime de fin d’année s’impose lorsque:
- Le droit est prévu dans une convention collective de travail sectorielle ou d’entreprise.
- Le droit est prévu dans un contrat de travail individuel.
- Le droit résulte d’un usage au sein de l’entreprise que d’allouer chaque année un montant fixe à chaque travailleur.
- Il existe un engagement ou une promesse de la part de l’employeur de payer une prime de fin d’année.
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Comment l'index est-il calculé?
L’index est composé de 3 éléments:
- Le panier. Il contient environ 500 produits et services qu’une famille utilise et consomme. Il permet de mesurer la hausse du coût de la vie. Le panier est remis à jour tous les deux ans pour prendre en considération l’évolution des habitudes d’achat de la population. L’index mesure ainsi l’évolution des prix des produits et services achetés par les ménages belges.
- L’indice santé. Depuis les années 1990, le tabac, les boissons alcoolisées, l’essence et le diesel ne sont plus repris dans le panier. Depuis lors, on parle d’indice santé.
- L’adaptation des salaires à l’index. L’adaptation des salaires à l’index est calculée sur la base de la moyenne de l’indice santé sur une période de quatre mois. L’évolution des salaires suit, avec quelque retard, l’augmentation du coût de la vie. C’est ce qu’on appelle l’indexation. De cette manière, les adaptations salariales sont étalées dans le temps.
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Rendez-vous Namur-Luxembourg
Voici les points de rendez-vous pour les départs de gare de Namur :
Veuillez venir avant les heures indiquées.
- Namur : 8h00
- Jambes : 7h30
- Andenne : 7h30
- Ciney : 7h30
- Gembloux : 8h00
Inscription obligatoire via action.cscnamurdinant@acv-csc.be avec votre nom et le point de départ.
Téléchargez le tract Namur avec les départs ICI.
Voici les points de rendez-vous pour les départs de gare de Luxembourg :
- Arlon : 6h36
- Marbehan : 6h49
- Libramont : 7h04
- Jemelle : 7h33
- Marloie : 7h39
- Ciney : 7h55
Inscription obligatoire via 063/242031 ou par mail à marie-pierre.halbardier@acv-csc.be avec votre nom et le point de départ.