Prime de fin d'année et 13ème mois
Avez-vous droit à une prime de fin d'année et qu'en est-il en cas de licenciement ou de travail intérimaire?

Qu'en est-il du 13ème mois ou de la prime de fin d'année?
Attention: tous les travailleurs ne bénéficient pas d'une prime de fin d'année. Cela dépend du secteur dans lequel vous travaillez. Et qu'en est-il en cas de licenciement? Qu'en est-il pour les intérimaires? Et qu'est-ce qu'une prime de fin d'année exactement?
Toutes les réponses à ces questions se trouvent sur la page Avez-vous droit à une prime de fin d'année?
Quel est le montant de votre prime de fin d'année?
Cela dépend aussi du secteur et/ou de l'organisation pour lesquels vous travaillez. Les centrales calculent le montant de la prime pour chaque secteur.
Quel est le montant de votre prime?
Il y a deux manières de le savoir:
- Rendez-vous sur la page d'aperçu des primes de fin d'année, choisissez votre centrale puis votre secteur.
- Ou cliquez sur "Mon secteur" en haut de cette page, choisissez votre secteur et les informations sur votre prime apparaîtront ci-dessous 👇
Vous êtes intérimaire?
Consultez notre page consacrée aux salaires et primes dans le secteur de l'interim.
CP 116.00 - Chimie
Quand ai-je droit à une prime de fin d'année ?
Vous avez, au 31 décembre de l'année en cours, au moins trois mois d'ancienneté dans l'entreprise.
Montant de la prime de fin d'année ?
Le montant de base minimum de la prime de fin d'année est fixé à 173,33 fois le salaire horaire de base en vigueur le 1er décembre de l'année considérée (40 heures/semaine).
Les absences suivantes sont assimilées aux prestations effectives :
- maladie professionnelle, accident du travail ou accident survenu sur le chemin du travail ;
- maladie ou congé de maternité ;
- jours de vacances annuelles légales, les jours fériés légaux, les absences justifiées « petits chômages », les jours de congé pour raisons impérieuses, les absences dans le cadre de la loi sur le congé-éducation et la promotion sociale, les jours de congé syndical, et les jours de chômage partiel à concurrence de soixante jours ;
- congé d’ancienneté ;
- congé de naissance (aussi dénommée « congé de paternité ») ;
- congé d'adoption.