Bruxelles sans gouvernement suffoque, prise en otage par les jeux politiques !
Les conséquences sont dramatiques. Les projets sociaux sont suspendus, les aides retardées, les emplois précarisés. Les travailleurs des services publics continuent de répondre aux besoins des citoyens, mais à quel prix ? Ils doivent faire face seuls aux mesures antisociales du gouvernement fédéral, impactant durement Bruxelles, sans soutien régional. Les associations et structures d’accueil sont au bord de la rupture, alors que la demande explose. Bruxelles mérite mieux que le discours de certains qui prône la fin des services publics, de la solidarité, de la multiculture de l’accès à la culture. Un discours de division. Bruxelles sera toujours une région accueillante et qui met les services publics à disposition de tous les citoyens sans discrimination !
La situation économique s’aggrave également. Belfius met fin à sa ligne de crédit de 500 millions d’euros, menaçant le paiement des salaires, des allocations et des services essentiels. Cette décision illustre la perte de crédibilité financière de Bruxelles, conséquence directe de l’absence de gouvernement, pour continuer à répondre aux besoins des bruxellois et bruxelloises, les services publics et non-marchands doivent être soutenus à hauteur de l’enjeu actuel, par des choix politiques clairs et une contribution accrue des épaules
541 jours, c’est assez ! Bruxelles ne peut plus être otage des jeux politiques. Les travailleurs et les citoyens ne doivent pas payer le prix de l’inaction. Ils veulent un gouvernement qui construit, pas qui détruit !
