Vos droits
bab449ae-2477-46b3-8fca-27c4c5741bd6
https://www.lacsc.be/vos-droits
true
Actualité
59ea6a04-d5cb-49bb-86bf-262457cb04b8
https://www.lacsc.be/actualite
true
Services
c7cddb17-187f-45c2-a0e2-74c299b8792b
https://www.lacsc.be/services
true
S'affilier
abbb02d8-43dd-44b5-ae75-3cd90f78f043
https://www.lacsc.be/affiliation
true
La CSC
c62ac78b-1aa2-4cb9-a33b-59e6fc085fb4
https://www.lacsc.be/la-csc
true
Contact
7f7bdd4f-c079-401e-a1bf-da73e54f00c2
https://www.lacsc.be/contactez-nous/pagecontact
true
Je m'affilie

Les accueillantes d'enfants en ont marre d'attendre

et que l’on va étudier le passage à un statut complet de salariés depuis… 2003 ! Elles adressent une lettre ouverte à la ministre Alda Gréoli (copie en pièce jointe), prêtes à partir en grève s’il le faut.




Depuis des années, elles accueillent jusqu’à 5 enfants, 10 heures par jour… Mais si les enfants ne viennent pas (vacances des parents (enseignants, notamment), maladie, grands-parents disponibles…), leur revenu diminue d’autant. Des vacances annuelles, des formations, des jours fériés ? Oui, elles en ont… mais sans aucun revenu puisque celui-ci dépend de la présence réelle des enfants.


En octobre 2015, la Fédération Wallonie Bruxelles décidait :

- d’octroyer 4 millions d’euros (8 millions à partir de 2017) pour garantir un revenu mensuel 12 mois sur 12 (dès le 01/07/2016)
- d’entamer des discussions en vue d’avancer vers le statut complet


La ministre Milquet avait même écrit à chaque accueillante pour lui annoncer la bonne nouvelle. Enfin une avancée significative ! Mais, entretemps, la ministre Milquet est revenue sur ses pas. Elle a conclu que sa proposition n’était pas techniquement faisable. Puis… elle est partie !




La nouvelle Ministre, Alda Gréoli, a annoncé qu’elle prenait ce dossier très à coeur et qu’elle déposerait une note au gouvernement très rapidement.



Pour les accueillantes, il n’y a plus droit à l’erreur ! C’est maintenant qu’il faut avancer. Elles ont écrit une lettre ouverte à la ministre (copie en pièce jointe), prêtes à partir en grève s’il le faut.