« Nous constatons qu’il est beaucoup plus facile pour la direction de remplacer des grévistes que de remplacer des malades » constate Stanny Constant Hermans, permanent CNE. « Ce sont surtout des étudiants. Dans beaucoup de magasins, il y a juste un chef avec des étudiants. »  

Après un conseil d'entreprise avorté, une réunion nationale sans solution et un bureau de conciliation sans avancée fiable et sans solution crédible, les travailleurs de Lidl n’ont pas d’autres choix que de débrayer afin de faire comprendre à la direction qu’ils sont fatigués, qu’ils n’en peuvent plus et qu'il faut des solutions durables.

Ils espèrent une réaction rapide de la direction afin de trouver une solution digne de ce nom. La balle est dans leur camp.