
Les impacts du coronavirus pour les employés
Dernières nouvelles


L'Oréal offre un cadeau de nouvel an désagréable à ses travailleurs !
Totalement inattendu, L'Oréal annonce le licenciement possible de 125 travailleurs à Bruxelles suite à un projet de fusion et au transfert d’une grande partie de son siège social à Amsterdam. Le slogan de l'entreprise "Parce que vous le valez bien" ne s'applique désormais plus au personnel.
AIP : les travailleuses et travailleurs méritent un accord équitable
Tous les deux ans, les interlocuteurs sociaux sont amenés à négocier un accord interprofessionnel qui définit le cadre des augmentations salariales dans le secteur privé. Le Secrétariat du Conseil central de l’économie (CCE) est chargé de fixer la marge salariale disponible. Il la calcule selon les critères établis par la loi de 1996 sur le salaire. Critères qui ont été durcis en 2017.
Grève le 15 janvier dans le non-marchand bruxellois
Lors de notre rencontre le 7 décembre dernier avec les autorités bruxelloises, nous espérions qu’enfin ceux-ci entendent la colère des travailleurs du secteur et dégagent des budgets significatifs supplémentaires pour la revalorisation pérenne des métiers du non-marchand à Bruxelles. Malheureusement, cela n'a pas été le cas.

Invisibles, oubliés… mais indispensables !
Sans eux, les hôpitaux ne pourraient pas continuer à fonctionner. Moins visibles que les soignants, ils se sont pourtant mobilisés tout autant contre le coronavirus. Eux aussi prennent des risques et méritent d’être non seulement applaudis, mais aussi revalorisés.
Les travailleurs franchisés des petits commerces - Oubliés parmi les oubliés ?
Les travailleurs du commerce paient cher cette crise et ce, à de nombreux points de vue. Financier d’abord, avec les périodes de chômage temporaire dues aux fermetures mais aussi avec la non-assimilation de ces périodes pour le calcul de la prime de fin d’année.
RCTT - C’est pour aujourd’hui et pour demain !!
Un vaccin pour seul espoir ? Et en attendant, se masquer, s’enfermer, se résigner ? Non ! La Covid-19 n’est pas la seule catastrophe qui nous menace, et nous n’attendrons pas sans rien faire. La pandémie fait exploser le chômage et la pauvreté, qui s’ajoutent aux deux menaces majeures d’avant la crise : les inégalités sociales intenables et la catastrophe écologique en marche.


AUGMENTER LES SALAIRES POUR RELANCER L’ÉCONOMIE
Les organisations syndicales représentatives des travailleurs du secteur Métal sont stupéfiées des déclarations dans la presse d’Agoria, représentée par Bart Steukers, et de la FEB, représentée par Peter Timmermans, indiquant que quasiment « aucune marge salariale » n’était disponible dans le cadre des futures négociations.


.jpg?sfvrsn=ec50b0d3_10)



